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En certains endroits, le terrain est littéralement truffé d'immeubles, de grands arbres, de lignes haute tension et d'antennes radio, dont la rencontre risque de compliquer la tâche d'un pilote d'hélicoptère. Le climat, allant du désert brûlant et poussièreux aux steppes glacées et couvertes de neige, joue aussi son rôle et influe sur les performances de l'hélicoptère. Le terrain et ses obstacles sont à la fois une bonne et une mauvaise chose. Un hélicoptère volant a basse altitude peut en tirer parti pour se dissimuler, mais les forces terrestres ennemies aussi. La route que l'hélicoptère doit suivre est soigneusement étudiée à l'avance afin d'éviter autant que possible les zones à haut risque, où les ostacles tels que les lignes à haute tension sont précautionneusement notés. Lorsqu'ils survolent leurs propres lignes, les machines peuvent voler à une altitude suffisamment élevée pour passer au dessus des obstacles, mais dans les zones où une menace, qu'elle soit aérienne ou terrestre, existe, la survie de l'appareil dépend essentiellement de sa discrétion. IL peut être détecté de quatres façons: par radar, par infrarouge, visuellement et, dans certains cas, par des moyens acoustiques. Il est impossible de se prémunir intégralement, mais en évoluant à très basse altitude et en utilisant toutes les ressources du terrain, il bénéficie d'une meilleure protection. Ce survol du terrain a très basse altitude a été baptisé Vol Tactique. Il exige un haut degrès de précision, mais il s'accompagne d'un importante réduction de vitesse. Aussi élevée que puisse être la vitesse de l'hélicoptère, le pilote pourra difficilement suivre au delà de 100 noeuds (185km/h) au dessus d'un terrain encombré et sera parfois contraint de réduire davantage sa vitesse Le camouflage est l'art d'utiliser les ressources du terrain. Si la ligne de vol et les position ennemies sont séparées par une colline, l'hélilcoptère peut conserver une basse altitude et demeurer hors de vue. Des forêts et même des immeubles peuvent servir à le masquer, totalement ou partiellement, à la vue ou aux autres moyens de détection de l'ennemi. Voler sous la ligne d'horizon est tout aussi important. L'hélicoptère rencontrera peut être des collines, mais il pourra les contourner au lieu de les survoler. Eviter la détection aérienne est par contre plus délicat, même si les terrains morts peuvent servir de camouflage (les terrains morts sont des zones où il n'existe aucune ligne de visée correcte). Il sont plus utiles contre un adversaire évoluant a basse altitude que contre un volant plus haut.
Ci contre, un exemple de vol en ligne droite à une altitude suffisante pour éviter les obstacles autorise une vitesse supérieure, mais le risque de détection est plus élevé. Le vol tactique ne permet pas d'aller aussi vite mais offre les meillrues chances d'éviter d'être repéré. Le vol au ras des obstacles constitue un compromis. Le choix dépend de la situation tactique.
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L'ombre des nuages peut aussi être mise a profit. Un hélicoptère peint en vert et survolant une région boisée est plus difficile a apercevoir qu'une machine volant en rase campagne. Une machine bien camouflée est difficile a repérer au dessus d'un terrain avec lequel elle peut se confondre, mais sous le soleil son ombre se détachera d'une manière bien visible au sol. Cet inconvénient peut être atténué en volant très bas, de telle sorte que l'aéronef dissimule en partie son ombre, bien que dans certains cas, et notamment dans le désert, cela présente d'autres inconvénients comme, par exemple, de soulever un nuage de sable ou de poussière. Les régions rocheuses ou pierreuses, avec les ombres que projettent ces accident naturels, permettent de briser l'ombre de la silhouette de l'hélicoptère, le rendant plus difficile a repérer. Le suvol des lacs et autres pièces d'eau devra être évité; non seulement ils offrent un contraste très net, mais ils rendent l'hélicoptère plus facilement détectable par un radar. La procédure consiste a les contourner.
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