C'était pas notre guerre, journal du bord du pilote

[Samouraï]

Aloha


Voissi un recueille de textes de pilote dans le feu du combats des jeunes âmes partie à la guerre ....sans même savoir pourquoi





Ps: messieurs à vous la suite



Journal de Bord de .../

Ce message a été modifié par Samouraï - 24 Apr 2006, 12:23.

[Tof]

Ah je courrais nue sur la plage avec ma fani a forte poitrine quant tout a coup mon reveil me reveilla ..... ah merde faut partir a la guerre , allez 6h petante je baillle plus fort qu'une porte de hangar et nous voila phoenix et moi au cockpit , démmarrage moteur et airborn pour un hypodrome sur gudauta le temp que les bisons esquive les chauffards des taxi IA .

Ca yest les bisons sont pret au roulage et tres vite ils envoi la purée car derriere j'ai le cul qui brule ca pete de partout faut degager c'est clair , une fois les bisons airborn ont trace direction zone de strike et la en chemin bein vla ti pas un ennerver d'en face nous arrive plein tronche et c'est tous les quatres qui passont pleine terre pour du tba qui du coup nous suivent et arrive a shooter l'ailier .

Direct je fait demi tour pour un tir de riposte mais rien disparu les mechant donc j'insiste pas et continue vers la zonne de strike . A 25 nautiques j'ai encore le spike HA , pas bon , mais ne dure pas les bisonboys font leur office du coup je monte un peut et c'est festival de petarade , ont blaste , ont casse , ont étripe a tous va ; apres la cibles prioritaire nous passont a la cible secondaire un convoi legerement armée et canoniser sur les cinqs minutes qui suivent sauf que a un moment bein les spikes air refont leur apparition et la faut pas trainer , rtb pour les strikers c'etait juste de chez juste a 5 minutes pret ont aurait pas aussi bien reussi !

Merci au fighters qui se sont batu comme des lions et au strikers pour leur sang froid malgré les innonbrable signatures radar pas vraiment rassurant .

3rd-wing

[John-John]

vue par la chasse :

nous partimes 500 mais par un prompt renfort nous nous vîmes (ah on me dit dans l'oreillette que les figurants ont décidé de faire grève ...) bah euhhhh bah 500 en arrivant sur zone, voilà.

C'était une belle journée, les mouettes faisaient cuicui (non Ezor ! n'y pense même pas !) au dessus de Sochi. Nous assistames à un splendide lever de soleil au dessus de notre base d'envol. Mais nous devions y aller ! Les verrières se fermerent et l'air climatisé se mit en route dans nos cockpits (quoi on a le droit de rever non ?). L'objectif ? Nous le connaissions pas, pourtant nous devions décoller pour protéger nos terres (on se croirait presque dans Braveheart).

Tout à coup, un contact, puis deux puis 10 ! Nous engageons dans le tas, des reussites des défaites (moi descendu au canon et Talon au sparrow, bouhhhhh la honte à noussss !). Les 29 redecollent.

Ah tiens un contact isolé je vais me le faire ! Pan t'es mort ! Oups zut :

- John-John killed Samourai with R-77

bah c'est pas ma faute c'est la faute du missile voilà, j'enverrai une lettre à la famille. Apres un premier engagement, nous continuons notre patrouille mon leader Talon et moi. Je sors l'oreiller, la télé et je me cale sur mon leader pendant environ 25 années lumières le temps de rentrer pour que Talon ravitaille.

Pendant ce temps les bombardiers et les 33 entament un génocide total de la région.

Puis nous redecollons, Ezor crie dans sa bulle :

- Samourai sauve moiiiiiiiiiiiiii

avant de mourrir dans d'atroces souffrances (tu confirmeras Ezor ?), puis j'annonce lamentablement :

- j'ai un contact

et la réponse d'Ezor :

- quel cap par rapport à la base

*moment de panique et d'intense calcul*

- euh 240° de la base

(on s'y croirait vous ne trouvez pas ? )

ensuite en vrac : boum ! bam ! schlaf ! pan pan (Az killed 2 helicos), puis on n'échappe pas au mythique :

- bingo fuel je m'ejecte !

d'Ezor (passe au diesel Ezor je te dis !!! )

pour finalement nous poser avec beaucoup de classe Samourai et moi (comprenez sans les roues) avant d'etre rejoints par Az en attaque piquée kamikaze.

THE END

[Talon Karde]

Bah disons surtout qu'il y a eu 2 soucis :

- Trop de monde en l'air, beaucoup trop. On a eu beau enchaîner tous des victoires, on a quand même bien testé le CTRL+E+E+E. Pas beaucoup d'ailleurs, mais quand même.

- On ne partait pas de la même base et tout le monde ne l'a pas remarquer, du coup on s'est donné des vecteurs en cartons puisque chacun parlait à partir de sa base de départ. Du coup, forcément, quand on m'a dit : "La base est atttaquée", je suis allé défendre la mauvaise...

Sinon beaucoup de sueur, beaucoup de belles maneouvres, de couverture mutuelle et un travail d'équipe qui nous a permis d'envoyer au sol nombre de bandits. Malgré des bordels dans les com°. Bah vi quand je tourne en rond parce que des appels arrivent de partout, je suis bien incapable de donner des vecteurs précis en plein bordel

[Ezor]

Journal de bord du Colonel Ezor (pilote de F-15C pour la soirée)

C'était pas notre guerre

Gudauta, 6h du matin, déjà si je choppe le con qui nous a fait levé si tôt Bref, à peine le temps de passer au mess pour avaler une bollé de nesquik que nous sommes déjà attendu au parking et les mécanos s'affèrent autour de nos appareils.
Pour la mission les copains américains m'ont prété un (des ?) F-15C. Je m'installe à bord afin de découvrir un peu le cockpit. Et là suprise, un équipement réellement complet, tout y est, lecteur CD, GPS avec écran tactille, portes goblet, et n'oublions pas l'emplacement pour ranger les ray-ban.

Le mécano: "Colonel ?"
Ezor: "Oui lieutenant ?"
Le mécano: "Colonel, vous êtes assis dans la BMW du général, votre F-15C est plus loin là haut sur le parking"
Ezor: "ah euh oui d'accord..."

Ils sont fous ces américains...

Bref, brêlé dans mon cockpit j'ordonne à mon ailier, le commandant Azrayen, le démarrage moteur. On met en route les turbines, tout à l'air normal (mise à part le fait que je suis en train de piloter un F-15) et en route jusqu'à la piste pour le décollage. A peine en l'air des méchants pas beaux turques nous mettent le grappin dessus. On s'écarte un peu pour laisser bosser les milans et cap vers le secteur d'escorte. Mais chez les milans ça sent le roussi, et comme j'aime pas l'oiseau grillé je décide d'aller les aider
On allume le radar.

"Ok j'ai plusieurs contacts"

John-john KILL F-16 with R-77
F-16 KILL John-john with AIM-120

"Ok j'ai moins de contacts"

Après 10 minutes d'engagement, une bonne demi douzaine de pilotes sont déjà en train de jouer au waterpolo, mais rien n'y fait, le RWR se remet à sonner de tout les côtés et de nouveaux bandits arrivent de toute part. J'en prends un pour moi tout seul.

"je vais l'avoir"
"il est fuyant"
"je vais l'avoir"
"ah mais..."
"il se retourne"
"attend qu'est-ce que ..."
"SATANE RADAR OU QU'IL EST ?"
"Ezor il est dans tes fesses !!!!!!"
"ah bRRRHFISIRHHHHHHH EJECT EJECT" ?
"I'm a poor lonesome cowboy, and a long long way from home"

Je rejoinds donc la partie de waterpolo à mon tour et après quelques minutes de stop un hélicoptère me rammène à la base.



Redécollage de Gudauta et en route vers les muds qui vont peut-être avoir besoin de nous. Après un petit ravito, nous voilà sur zone. On distingue nettement le barbecue allumé par les strikers en contre bas puis tout d'un coup :

"On dirait le suuuuuuud, le temps dure longteeeeeeeeemps, et la vie sureemeeeeeeeeent..."

Et bah croyez moi cette chanson de Nino Ferrer c'est des conneries, quand tu te retrouves en face à face à 2 contre 4 F-16 venant du SUD, la vie ne dure pas longtemps ! Bilan des courses, Azrayen abattu, seulement un F-16 au tapis et moi en train de pumper.
A ce moment je suis encore persuadé n'avoir qu'un seul F-16 au cul puis soudain, deux, puis trois apparaissent sur le SPO
N'écoutant que mon courage, je procède donc de la façon suivante :

"A L'AIDEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE"

Fort heuresement Samouraï dit dumbo les grandes oreilles percoit mon appel de détresse.

"Je te préviens Ezor, j'ai que du R-73, j'vais pas pouvoir les arreter longtemps"
"On va faire avec !"

Avec une chance incroyable, après un triple loost et un double piqué je réussi à me mettre en position de tir et descend 2 des 3 F-16 avec l'aide de Samouraï qui s'est transformé en Lapin. Mais là c'est le drame, le dernier F-16 que je n'avais pas repéré se place dans mes 6 heures et commence à m'allumer au canon. Impossible de mettre la PC avec le peu de kero qu'il me reste, je me contente de bouger dans tout les sens en attendant que Samouraï descende mon poursuivant. Je lui demande d'ailleur calmement un statut de la situation:

"OH PUTAIN SAMOURAI T'ES OU, IL ME SHOOT, IL ME SHOOT HAAAAAAAAA"

Mais trop tard, le F-16 emporte un des mes moteurs sous le bras ainsi que quelques pièces de mon système hydraulique. Avec le peu de kero qu'il me reste et mon dernier moteur je réussi tout de même à aligner le F-16 !

"JE L'AI FOX2"

Missile à l'eau. Ezor et Samouraï à l'eau en panne de kero et le F-16 qui nous passe au dessus comme pour nous narguer.

Bref, je prends un magnum et ca repart.



Le fameux F-16 tente de rejoindre une base géorgienne pour se poser tranquillement, mais un de mes AIM-7 et deux de mes AIM-120 n'étaient pas du tout d'accord avec ça. Me voilà donc venger !
On continue d'orbiter un peu dans tout les sens puis 8h arrive, nous allons être relayer par d'autres pilotes et on rentre donc à la maison.

Fin de mission.

En résumé, une bonne petite soirée, une très bonne mission, beaucoup de bandit et comme dit Talon, c'est étonnant que nous n'ayons pas plus usé de la poignet d'ejection !

Over

[Talon Karde]

Ezor, il t'en reste encore de ce que t'as pris?

[Wilbur]

Zozor j'ai rien contre votre débrief mon Loconel, mais eu je suggererai quelque chose,

Si dans votre pays il faut faire chauffer et l'huile et le moteur avant de démarer, icin on allume pas le radar, on se contente de le mettre en fonctionnement en basculant les inters. . .


Très très beau débrief, à mettre dans les archives selon moi !

[Talon Karde]

Bon allez, je debrief en détaillé.

Milan 11 et moi-même rejoignons nos appareils sur lesquels on a pris soin de ne pas monter de R-60 afin d'éviter les frats sur les F-15. Démarrage moteur, roulage au point d'arrêt et on décide de regarder décoller les F-15. On attend, on ne voit rien... Zzzzz... Quelques minutes passent :
"Euh, les F-15, c'est Milan leader, vous décollez vos gros culs oui?
- On est déjà en l'air."



Quelques secondes de silence et après une intense réflexion, j'en déduis qu'on ne décolle pas du même aérodrome.

C'est parti, on y va. Tout de suite les contacts déboulent de partout et tenir notre supposée zone de patrouille relève du fantasme. On fonce dans le tas. Le premier bandit m'évite la bagatelle de 3 missiles avant de se prendre le 4e dans la tronche. Saloperie. Les Turcs ont l'air très énervés. Mais un second bandit tombe avec mes deux derniers missiles. Dans la confusion totale les missiles fusent et on survit aux engagements. Ouah, je me sens beau, fort et regarde mon sourire Colgate dans le rétro en me tripottant les tétons. Il est temps de ravitailler. J'annonce que je rentre me poser. C'est à ce moment précis que John-John a la mauvaise idée de se retrouver avec un bandit aux fesses l'avoinnant au canon.

"Taaaaalonnnn!! A l'aide! Il me tire! Il me tiiiirrrreee!!!!
- Dommage, suis trop loin, bingo et en finale. *sifflote*
- ..."

John-John teste la température de la mer, certainement en me maudissant ma famille et moi pour les 15 prochaines générations.

Je repars. On reprend notre patrouille après avoir observé les F-15 démonter du bandit sur leur zone. Visiblement c'est le bordel chez eux. C'est con, hein? Nous tout va bien Puis un contact sur le SPO. On décide d'aller voir, mais le vilain est trop à l'ouest, nous conduisant droit sur les navires ennemis. Plein de courage, j'opte pour une décision stratégique de grande importance : je décide de faire rebrousser chemin à notre patrouille qui file à Mach 1.2 vers la base, laissant sur place le bandit qui disparait du SPO. Second posé en bingo. Et c'est là que les Turcs décident de contre-attaquer.

Un bordel sans nom commence, les F-15 engagent et sont engagés. Les strikers appellent leurs mères. C'est le merdier. Le A-50 cesse d'émettre après avoir estimé qu'il n'était pas raisonnable de voler avec un AIM-120 dans le pare-brise. Je redécolle avec John² sur mes talons (ahahahah, elle est bonne, hein?). On se shoot du vilain en se coordonnant avec les F-15. Je tire en HOJ pour obliger un à manoeuvrer pendant qu'un des F-15 se glisse derrière. John-John prend l'autre cible qui ne s'occupe pas de moi bien que je passe devant en ricanant. Je me sens encore plus invicible. Dieu que je suis fort, l'ennemi n'ose me tirer dessus même en étant sous son nez. J'en tire un en frontale, il m'abbat mon R-77 au canon Et d'un coup, plus rien... Le mythe s'effondre en même temps que je me dirige vers le sol en petits morceaux, transformé en chaleur et en lumière.

Brisé, je redécolle et là, un grand moment de com.
Talon : "J'arrive les gars, j'ai un bandit.
Samurai : - Il me shoooot aaaaaah, on est merge!!
Talon : - je l'ai, j'y suis presque!!!
Ezor : - c'est pas le même Talon.
Talon : - Si si, je l'ai, je les ai repérés, j'arrive.
Az' : - C'est pas le même Talon...
Talon : - Je l'ai locké!! Suis presque à portée.
Ezor : - C'EST PAS LE MEME TALON!!!
Talon : - Gné?"

Effectivement, ce n'était pas le même. Mais ici il s'agit d'un autre F-4 contre lequel Az' et moi engageons la partie pendant que John-John se bat avec Mister Freeze.

Deux fox 3 avec des paramètres optimaux n'y font rien, le F-4 suit sa route en me narguant. Az' et moi nous nous plaçons très habilement dans ses 6. Et là, le drame. Az' est devant moi, ne tire pas visiblement faute de paramètre idéal pour l'AIM-9. Moi je le suis.
"Az', dégage, je peux l'avoir! Dégage."
Mais Az' pense que je veux me rapprocher pour un gun kill alors qu'en fait c'est mon R-73 qui est tout prêt pour le pourrir. Commence alors cette scène comme dans Top Gun quand Maverick ne veut pas lâcher le F-5 au profit de son ailier. Je sors ma poupée vaudou Az' afin de le maudire lui, ses chats, sa boulangère et son canapé. Un AIM-9 fini par partir, mais manque sa cible. Normal, c'est qu'un AIM-9 Finalement je me retrouve en frontal avec le vilain, mes R-73 ratent. Il se met dans mes 6 comme un X-Wing. Et je bois la tasse. Au bout de mon parachute, je pleure contre cette injustice envers mon statut de héros. C'est vraiment pas juste !

Je redémarre du sol. John-John revient sans avoir réussi à foutre sa branlée à Mister Freeze (60 FPS chez moi, ça vaaaaaaa Johhhhnnn???? ). Quelques combats sporadiques éclatent, je tourne en rond allant défendre la mauvaise base. Je ne sais plus où je suis. Par là? Ah nan, visiblement par là. Hein, on attaque la base? Laquelle? Car forcément, nos pilotes n'ont pas tous captés qu'on ne partait pas tous de la même On croise des vilains sans les voir. Finalement Az' les shoot. Et là, le drame :
Talon : "Y'a un gars parallèle à un bandit."
...
Talon : "Y'a un gars parallèle à un bandit."
...
Talon : "Y'a un gars parallèle à un bandit.
Ezor : Ouai, mais ça ne nous aide pas, t'as un cap par rapport à la base?"
Intérieurement je pense : "Quelle base?"
Talon : "Euh, nan, sais même pas où je suis.
Ezor : - ..."



Finalement le combat se termine sans moi vu que j'erre sans but, recherchant des cibles que je ne vois pas. Seul, abandonné de tous, paumé dans le ciel. Le prestige de début de mission se mue en ridicules cercles dans le ciel, desepérés. Des larmes pleins les yeux, un rêve de gloire évanoui. Abattu par deux F-4, humilié, incapable de rejoindre les combats. Je songe déjà au suicide quand John-John hurle comme un diable pour qu'on vienne le rejoindre au dessus de la base attaquée. MAIS PUTAIN LAQUELLE!!!!!

Finalement, c'est l'atterrissage, avec seulement 2 kills à mon actif mais assez de missiles tirés pour abbattre le vaisseau d'Independance Day.

[Samouraï]

Journal de bord Samouraï Pilote Aéronaval Su33


J’était entrain de rentrer tranquillement d’une Soirée mousse avec mec copines du kuz

quand tt à coups mon portable Lada sonna..

Higgins: Sam !
Samouraï:Was up chefs
Higgins : Où ta encore passé la nuit rapplique toi à la base, les turques vont encore déconnés..
Samouraï : ehh merde encore …j’arrive…

Juste le temps d’amarrez mon nouveau bateau et ouais on est mieux payer dans l’aéronaval
De faire la route avec magnum et zou direction Sochi.

Comme à mon habitude je m’isole pour me préparer à la mission:
Et Higgins laissa sous entendre une belle contre attaque, comment expliquer que les Turc allez être furieux après la destruction de leur fournisseur officiel de super sans plomb 95 !
Bref on s’engagé encore dans un cauchemar tt éveillé…

Fox2 Fox …éjecte parajectugnasta !! Ok Katia je plonge Geronimo !! (J’avais mit qu’un string R-73 et laissé l’agressivité au placard je pensai à Bob la Jamaïque..Passons..)
Avec la rage et les tripes les chasseur on défendu la zone on déplorera la destruction de la voiture à Magnum (il nous fait la geule depuis..)
Les Striker on vite compris la gravité de la situation et on brillamment accomplie leur mission et dans cette mission tt encore était une question de timing attaque, contre attaque il s’en ai fallu de peut
Je revoi encore les tires des Guns des A-10 m’éclairant comme à Las Vegas le troue de.. Heu je m’égard
Bref on a eu chaud et hormis les pertes sur nos base well done messieurs

Higgins vous avez dit à quel point la contre attaque sera méchante ?

Ce message a été modifié par Samouraï - 24 Apr 2006, 15:50.

[Wilbur]

Zêtes graves les mecs